Révélations sur les salaires des entraîneurs des clubs de Ligue 1, des montants vertigineux révélés.
Une récente publication du média français L’Équipe a jeté une lumière crue sur les salaires des entraîneurs des clubs de Ligue 1, dévoilant des chiffres impressionnants qui ont suscité l’étonnement et la fascination.
En tête du classement trône Luis Enrique, le coach espagnol du Paris Saint-Germain, avec un salaire mensuel brut gargantuesque estimé à 923 500 euros. Une somme qui le place nettement en tête, démontrant l’investissement financier massif du club de la capitale pour attirer un entraîneur de renom international.
À la deuxième place, on retrouve Adi Hütter, l’entraîneur de l’AS Monaco, avec un salaire mensuel brut de 250 000 euros. Juste derrière lui, Patrick Vieira de Strasbourg et Paulo Fonseca de Lille, avec des revenus estimés à 220 000 euros brut par mois. Le top 5 est complété par Julien Stéphan, l’entraîneur de Rennes, avec un salaire mensuel de 180 000 euros brut.
Cependant, tous les entraîneurs ne bénéficient pas de salaires aussi mirobolants. Carles Martinez Novell, l’entraîneur de Toulouse, se trouve en bas du classement avec un salaire mensuel brut de 20 000 euros, presque équivalent au salaire minimum imposé par la charte de la LFP pour les entraîneurs de Ligue 1.
Parmi les nouvelles recrues, Jean-Louis Gasset, nouvellement nommé à la tête de l’OM, et Franck Haise du RC Lens, perçoivent un salaire mensuel de 150 000 euros brut, démontrant ainsi la confiance accordée par leurs clubs respectifs. De son côté, Antoine Kombouaré, récemment revenu à Nantes, touchera 100 000 euros brut, devançant légèrement Pierre Sage de Lyon, qui reçoit 80 000 euros brut mensuels pour sa première saison sur le banc des Gones.
Ensuite, un quatuor composé de Laszlo Bölöni (Metz), Francesco Farioli (Nice), Eric Roy (Brest) et Will Still (Reims) perçoit chacun 70 000 euros brut par mois, témoignant de la diversité des rémunérations dans le paysage des entraîneurs de Ligue 1.
Ces révélations mettent en lumière l’importance croissante des salaires des entraîneurs dans le football moderne, reflétant les enjeux financiers de plus en plus élevés auxquels les clubs sont confrontés dans leur quête de succès sur le terrain.