Les championnes olympiques en titre s’imposent avec brio : Direction les demi-finales du mondial.

La France confirme sa domination en battant la République tchèque 33-22 et se qualifie pour le dernier carré du championnat du monde de handball féminin.

 

Les championnes olympiques en titre ont démontré une performance exceptionnelle lors du quart de finale mondial face à la République tchèque, s’imposant brillamment sur le score de 33 à 22, dans un match disputé en Norvège ce mardi. Cette victoire les propulse en demi-finale, où elles affronteront le gagnant du match entre la Suède et l’Allemagne, programmé mercredi. Les Bleues continuent ainsi leur parcours impressionnant dans ce tournoi mondial, visant à décrocher un titre de plus pour leur palmarès déjà prestigieux.

 

Le succès ne quitte pas les pas des championnes olympiques en titre, la France, qui a engrangé une septième victoire consécutive lors du quart de finale du championnat du monde, disputé ce mardi à Trondheim, Norvège. Affrontant la République Tchèque dans un match décisif, les Bleues ont confirmé leur supériorité en remportant la rencontre sur un score sans appel de 33 à 22. Une performance d’autant plus remarquable que la République Tchèque n’était pas prévue à ce niveau de la compétition, étant classée 19e au Mondial 2021 et n’ayant pas obtenu de qualification pour l’Euro 2022.

 

L’équipe féminine de handball française, en quête d’une performance majeure, a atteint la demi-finale du championnat du monde avec une victoire sans faille. En dominant la République tchèque 33-22 lors du quart de finale à Trondheim, en Norvège, les championnes olympiques en titre ont confirmé leur statut de favorites dans la compétition.

 

Le prochain défi pour les Bleues se profile en demi-finale à Herning, Danemark, où elles se mesureront au vainqueur du match entre la Suède et l’Allemagne. En 2021, lors de la dernière édition en Espagne, la France avait atteint la finale mais avait été défaite par la Norvège. Cette fois-ci, l’équipe aspire à décrocher le titre mondial, et les supporteurs espèrent qu’elles sauront franchir cette étape cruciale et apporter la consécration attendue. La tension monte à mesure que la France se rapproche de la possibilité de marquer l’histoire du handball féminin.

 

Malgré la fatigue accumulée après un match intense contre la Norvège, les joueuses françaises de handball ont évité le piège tendu par l’équipe tchèque. Deux jours après leur victoire serrée face à la Norvège, tenante du titre, les Bleues ont montré leur résilience en dominant la République tchèque 33-22 lors du quart de finale du championnat du monde.

 

La performance des Françaises témoigne de leur capacité à s’adapter et à relever les défis, même dans des conditions physiques exigeantes. Leur détermination à poursuivre leur route dans la compétition est palpable, et les regards sont maintenant tournés vers la demi-finale où elles affronteront le vainqueur du match entre la Suède et l’Allemagne. La France continue ainsi son parcours vers une possible consécration mondiale, et chaque étape devient cruciale dans cette quête.

 

La première période du quart de finale n’a pas été de tout repos pour les championnes olympiques en titre. Le faux rythme imposé par la République tchèque a créé des difficultés aux Bleues, qui privilégient le jeu rapide. En outre, la défense française a montré quelques lacunes, notamment dans le secteur central, permettant aux joueuses tchèques, dont Veronika Mala (4 buts sur 6 en première période), de capitaliser.

 

La gardienne Hatadou Sako, titularisée pour la première fois dans ce Mondial en remplacement de Laura Glauser, a réalisé 6 arrêts, mais elle ne pouvait pas tout faire seule. Les moments difficiles en première période soulignent la résistance de l’équipe tchèque et la nécessité pour la France de s’ajuster tactiquement pour maintenir sa dynamique victorieuse.

 

L’attaque française a connu des moments difficiles, laissant passer des occasions en or, ce qui a permis à Sabrina Novotna et aux Tchèques de briller. Des occasions manquées, telles que le duel en un contre un de Chloé Valentini qui aurait pu porter l’avance à +5 (10-6 à la 12e minute), ont été une aubaine pour les coéquipières de Marketa Jerabkova. Ces difficultés en attaque soulignent l’importance de la précision et de l’efficacité offensive pour maintenir le contrôle du match.

 

Le deuxième acte a commencé de manière similaire, avec les Tchèques continuant à poser des défis à la défense française. Toutefois, l’expérience et le savoir-faire des championnes olympiques ont commencé à prendre le dessus. L’équipe dirigée par Olivier Krumbholz a intensifié son jeu offensif, renforçant également sa solidité défensive. Les changements tactiques ont été visibles avec une meilleure coordination en attaque et une défense plus étanche.

 

Les rotations du coach, telles que la titularisation de Hatadou Sako dans les buts, ont également contribué à stabiliser l’équipe. La gardienne a réalisé quelques arrêts cruciaux, limitant l’efficacité des attaques tchèques. Les Bleues ont ainsi réussi à s’imposer progressivement, reprenant le contrôle du match.

 

La montée en puissance de Sabrina Novotna a été contrée par une défense plus solide et une attaque mieux orchestrée du côté français. Les consignes du coach en faveur d’une approche plus joueuse ont été appliquées avec succès, permettant à l’équipe de creuser l’écart au tableau d’affichage.

 

La deuxième période a débuté avec la République tchèque continuant à poser des problèmes à la défense française. Des erreurs de gestion du ballon côté français ont permis à l’équipe tchèque de réduire l’écart à un seul but. Cependant, les Bleues ont rapidement réagi en renforçant leur concentration et en rectifiant les lacunes défensives.

 

Le coach Olivier Krumbholz a appelé à une réaction immédiate, soulignant la nécessité de résoudre les problèmes défensifs. Les consignes ont été suivies, et l’équipe de France a pu reprendre le contrôle du match. Les ajustements tactiques ont été payants, avec une amélioration notable dans la communication en défense et une plus grande efficacité en attaque.

 

Le jeu plus dynamique et collectif a permis aux championnes olympiques de reprendre leur avance, avec une performance plus équilibrée en attaque. Les rotations dans l’équipe, notamment avec l’introduction d’Alicia Toublanc, ont apporté de la stabilité. Un penalty réussi par Toublanc, obtenu par Pauletta Foppa, a permis à la France de mener de deux buts à la mi-temps (18-16). Cependant, la résistance de la République tchèque a mis en lumière les défis auxquels la France devra faire face pour maintenir son parcours victorieux dans la compétition.

 

La seconde mi-temps a débuté avec un changement de gardienne pour la France, Laura Glauser prenant la relève de Hatadou Sako. Glauser a immédiatement fait sensation en fermant les buts tricolores avec trois arrêts en seulement trois minutes. Ce retour en force a été soutenu par une défense plus solide, indiquant une réaction positive de l’équipe française après les ajustements à la pause.

 

La capitaine Estelle Nze Minko a été une fois de plus une force motrice pour les Bleues, inscrivant trois buts en six minutes et rétablissant l’avantage pour les championnes olympiques (23-19, 38e minute). La défense française, plus active, a limité les opportunités de tir pour les Tchèques, et lorsque ces dernières ont réussi à trouver une ouverture, Laura Glauser a répondu avec des arrêts cruciaux.

 

La performance exceptionnelle de Glauser, avec un total de 10 arrêts en 23 minutes et 12 arrêts sur 18 tirs au final, a été saluée en la désignant logiquement joueuse du match. La fatigue de l’épreuve n’a pas entamé la détermination de l’équipe française qui a ainsi confirmé sa place en demi-finale du championnat du monde.

 

La France a confirmé son statut parmi les grandes équipes de handball féminin en se qualifiant pour la septième fois en demi-finale du championnat du monde, depuis sa première participation en 1986 où elle a terminé à la 15e place. Dans l’histoire du championnat du monde, les Bleues n’ont jamais perdu une demi-finale mondiale, ce qui souligne leur constance et leur performance à ce stade crucial de la compétition.

 

Au cours de ses seize participations, la France a atteint six finales, remportant le titre à deux reprises (en 2003 contre la Hongrie, 32-29 après prolongation, et en 2017 contre la Norvège, 23-21). Malgré quatre finales perdues (en 1999 contre la Norvège, 25-24 après prolongation ; en 2009 contre la Russie, 25-22 ; en 2011 contre la Norvège, 32-24 ; en 2021 contre la Norvège, 29-22), la France a établi une réputation solide au plus haut niveau du handball mondial.

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